A la découverte de la solution Citrix XenServer (partie 3)

Dans la première partie on a pu voir la configuration de la vm sous Workstation 8.0

Dans la seconde, l’installation de Xen Server

Dans cette partie nous allons voir comment accéder à notre serveur et ainsi pouvoir l’administrer et commencer la création du cluster.

Installation de Xen Center, cet outil se trouve sur le cd d’installation de xen server

CD-ROM\client_install\XenCenter.msi

Il n’y a pas plus simple comme installation ..

Une fois Xen Center lancé, on peut ajouter nos deux serveurs Xen comme ceci

pour attacher Xen server à Xen Center, on doit connaitre l’@IP de management de Xen server + login et mot de passe root

Une fois attaché, le serveur Xen serveur apparait tel quel

Il faut évidemment faire la même chose avec le second serveur Xen

ce qu’il me reste à faire maintenant:

1) Paramétrer le disque partagé entre les deux Xen server sur mon SAN via Starwind

  • ajout d’un disque à la VM Win2008
  • création d’une cible ISCSI sous Starwind
  • Attachement du disque à la cible ISCSI fraîchement créée

2) Créer un réseau privée en 10.0.0.x/24 pour le SAN et les deux Xen Server

  • Une carte réseaux en 10.0.0.1 à déjà été ajoutée à ma VM Win2008
  • Ajout de carte réseaux sur les deux VM Xen Server
  • Reboot des serveurs Xen pour prise en compte du nouveau matériel
  • Paramétrage IP via Xen Center
  • Ajout du disque partagé sur les deux Xen Server via Xen Center et ISCSI

3) Créer le Pool de serveur Xen, autrement dit, le cluster Xen
4) Créer une machine virtuelle
5) Faire des tests de crash Xen pour s’assurer que la vm bascule bien d’un hôte à l’autre sans perte de connectivité

1) Paramétrer le disque partagé entre les deux Xen server sur mon SAN via Starwind

StarWind ISCSI permet de simuler une baie SAN pour l’attachement des LUN

ce logiciel s’installe sous win2008 et s’administre via une interface graphique

la première chose à faire dans mon cas est d’ajouter un nouveau disque dur virtuel à ma machine virtuelle Win2008

je me servirai de ce nouveau disque pour le stockage des VM du cluster Xen server

Création d’un nouveau disque dur

Seul le type ISCSI est accessible lorsqu’une vm tourne

Dans l’exemple la taille est de 50Go mais en réalité j’ai mis 80Go

Configuration de starwind

Comme on peut le voir sous windows 2008, il y a bien un nouveau disque détecté dans le gestionnaire de disque, vous pouvez faire annuler, il n’y pas de manipulation à faire à ce niveau là.

Sous Starwind, créer une « target » avec « add target », et bien penser à cocher « allow multiple concurrent ISCSI connexion (clustering) »

Donner lui un nom exemple cluster-xenserver-storage

Petit récapitulatif avant de terminer

Attribuons maintenant notre nouveau disque récemment ajouté à cette cible ISCSI (cluster-xenserver-storage)

Ajout disque dur

De type physique (il est émulé en tant que physique mais il est bien virtuel j’espère que vous suivez !)

Sélectionnons le bon parmis les autres disques déjà présent, généralement c’est celui qui à le chiffre le plus haut, ici il s’agit de « device address » -> 2,0,4,0

Cache inactif

Petit récapitulatif avant de terminer

2) Créer un réseau privée en 10.0.0.x/24 pour le SAN et les deux Xen Server et Ajout du LUN

  • Une carte réseaux en 10.0.0.1 à déjà été ajoutée à ma VM Win2008
  • Ajout de carte réseaux sur les deux VM Xen Server
Pour ajouter un périphérique, il faut aller dans Setting
puis cliquer sur ADD
choisir Network adapter..
On sélectionne Host-only pour avoir un réseau privé
On voit donc 2 carte réseaux correspondant à cette machine virtuelle
Retournons sous XenCenter, normalement il y a une fonction RESCAN qui permet de détecter les nouvelles cartes réseaux, chez moi ca ne fonctionne pas je suis obligé de reboot le serveur Xen
Une fois redémarre, si on rescan, la nouvelle carte réseau apparaît déconnectée
c’est à faire sur vos deux serveurs XEN bien sur.
  • Paramétrage IP via Xen Center
La nouvelle carte réseaux se configure dans l’onglet Networking
Ajout d’un réseaux Externe
Mettre un nom à ce réseau
Lui attribuer une carte réseau physique
Dans un second temps, cliquer sur « Configure »
Puis New Interface
Donnez un nom à notre interface exemple ISCSI puis sélectionnez notre nouveau réseaux ici « réseaux ISCSI » et configurer l’@IP
j’ai utilisé un @IP static en 10.0.0.1 pour la baie et 10.0.0.2 et 10.0.0.3 pour mes deux hosts Xen
Voilà le résultat final
  • Ajout du disque partagé sur les deux Xen Server via Xen Center et ISCSI

Dans l’onglet Storage cliquer sur New SR

Sélectionnez Software ISCSI puis Next

Donnez un nom puis suivant

Indiquez l’@IP du la cible ISCSI ici c’est notre baie en 10.0.0.1 puis cliquez sur Discover IQN de sorte à afficher l’ensemble des cibles ISCSI

Une fois que l’on a sélectionné notre cible on clique sur Discover LUN pour afficher notre future disque dur

Puis cliquez sur Finish

petit avertissement de formatage cliquez sur yes

petit message d’erreur que je cherche à corriger :p

Voila qui est fait, en fait il fallait retourner sur le NAS et dans gestion des disques il fallait mettre en ligne le nouveau disque détecté sans quoi Xen Center n’arrivait pas à le formater..logique vous me direz ..

Voila le résultat

Logiquement on pourrait penser qu’il faut faire la même manipulation sur le second Host Xen server hors vous aurez un avertissement du type:

« This LUN is already in use as SR Stockage VM en cluster on server Cluster-xenserver2 »

Pour résoudre ce message il vous reste simplement à créer le cluster XEN, de cette manière, le SR monté sur Cluster-xenserver2 va automatiquement être monté sur Cluster-xenserver1

Création d’un nouveau POOL

Donnez un nom à ce Pool et indiquez qui est le serveur Maître, ici je n’ai pas le choix ce sera xenserver2 le maitre

Un petit screen shot de la configuration finale

Contrairement à l’installation d’un cluster Hyper-V ou VMWare, j’ai l’impression que Xen effectue très peu de vérification avant de créer ce dernier ce qui rend l’installation presque simpliste…

Nous voilà rendu à l’étape suivante:

4) Créer une machine virtuelle
5) Faire des tests de crash Xen pour s’assurer que la vm bascule bien d’un hôte à l’autre sans perte de connectivité

 

Nous verrons tout ca dans un prochain article.

A la découverte de la solution Citrix XenServer (partie 2)

Installation de Xen Server pas à pas

Lancement de l’installation du serveur Xen

choix de la langue du clavier

xen nous prévient que l’installation écrasera tout sur le disque d’installation

Acceptation des termes du contrat CITRIX

Message d’avertissement car j’ai omis d’activer la virtualisation lors de la création de la VM Xen Server, cependant le processus d’installation peut malgré tout continuer.

Xen nous demande où souhaitons nous stocker les futures machines virtuelles, pour l’instant je n’ai pas le choix car qu’un seul disque.

le media d’installation est local, c’est à dire émulé comme un CD-ROM

xen nous demande si nous souhaitons installer des composants supplémentaire, pour l’instant non

Il y a la possibilité de tester le media d’installation avant de lancer l’installe

vérification du média

le media est clean

l’installation commence réellement, on nous demande de rentrer le mot de passe root du serveur

puis d’indiquer l’@Ip du serveur, je laisse en DHCP pour l’instant, mais il est évident qu’un serveur doit disposer d’une @IP fixe

indiquer ensuite le nom d’hôte exemple XenServer1 et préciser si les DNS sont attribués automatiquement ou pas.

Ensuite, on doit rentrer le choix de la région et de la ville

Paramétrage du service NTP, synchronisation de l’horloge

il est préférable de se synchroniser sur une source externe, pour un lab, je pense qu’il est tout de même inutile de se soucier de ce genre de détail.

Il n’y a plus qu’à lancer l’installation

Progression de l’installation

Installation réussite le serveur va redémarrer

Une fois redémarré voilà ce que vous devriez obtenir à peu de chose prêt que votre configuration IP sera probablement différente.

Ici, l’@IP 192.168.87.147 va nous permettre d’administrer notre serveur XEN.

Comme il est question de construire un cluster Xen, l’idée est de refaire extactement le même process pour avoir un second hôte, en changeant le nom d’hôte en « Xenserver2 » par exemple.

A la découverte de la solution Citrix XenServer (première partie)

Installation d’un cluster Xen Server

Et oui en parallèle de mon pseudo « laboratoire » VMWare ESxi, j’ai monté un 2ème « lab » pour tester la virtualisation mais cette fois sous XenServer.

Toujours dans un environnement clusterisé bien évidemment 🙂

La première partie décrit uniquement le paramétrage de la VM XenServer sous Workstation 8.0

   On sélectionne Custom afin de personnaliser notre machine virtuelle

 On sélectionne le mode de compatibilité le plus haut

 On indique le path pour l’image d’installation de Xen Server

 Au niveau du type d’OS, j’ai choisi Other 64Bits

 Il reste a indiquer le nom de la vm et le path par défaut de celle-ci

 Coté processeur, il y aura 1 processeur muni de 4 coeurs
 la vm disposera de 3 x 1024Mo

 coté réseau il y a pour l’instant qu’elle seul interface réseau public en 192.168.87.x

 j’ai laissé cet onglet par défaut

 Création d’un nouveau disque dur virtuel

 avec une interface IDE

 la taille est de 15Go, pas besoin de plus sachant que l’idée est d’avoir les VM sur un SAN partagé avec un second host Xen Server

 on indique le path du disque dur virtuel

 Résumé de la machine virtuelle puis Finish

A la découverte de vSphere (partie 3)

Mon cluster ESXi fonctionne enfin ! 🙂 mais ca n’a pas été sans douleurs..!

un petit schéma récapitulatif de l’infra de lab, je n’ai pas eu le temps de vous faire un magnifique schéma milles excuses.

Pour résumer, tout se passe sur mon PC seven

sur lequel je fais tourner:

  • VMWare Workstation 8.0
  • VMWare Vcenter Server
  • VMWare Client

Sur VMWare Workstation 8.0 j’ai crée 3 machines virtuelles.

  • Un hote ESXi 5.0
  • Un second host ESXi 5.0
  • Un Win2008R2 DataCenter pour simuler un SAN avec l’outil Starwind ISCSI

VMWare Vcenter Server permet de manipuler et de configurer nos hôtes ESXi, il permet en autre la création du cluster.

Contrairement à ce que je pensais, c’est un logiciel et non un OS il peut donc être installé sur un OS serveur tel que Win2008.

Mais dans mon cas, il a été installé en local sur seven, !Attention! ce n’est pas supporté par VMWare. Il y a en effet quelques manipulations à réaliser pour que l’installation s’opère bien sous Seven. cf le lien suivant -> http://communities.vmware.com/docs/DOC-16950

Ci joint un document PDF récapitulatif sur les OS compatibles avec une installation VMWare Vcenter Server  -> vsp_compatibility_matrix

VMWare Client permet d’accéder soit directement à un serveur ESXi soit d’accéder à Vcenter Server.

Ci joint les différentes source qui m’ont permis d’avancer sur le sujet:

Un powerpoint sur la création d’un cluster -> http://www.slideshare.net/esloof/introduction-vsphere-5-high-availability-ha

Tuto pas à pas pour y arriver -> http://www.tuto-it.fr/ClusterVcenter.php

Une introduction à VSphere -> VMware-Introduction-to-vSphere-PG-FR

Bientôt une ribambelle de screenshot pour vous expliquer l’installation pas à pas et de A à Z.

A la découverte de vSphere (partie 2)

Finalement,  contrairement à ce que je pensais il n’y a pas si longtemps  http://blog.virtuoze.fr/2012/05/02/a-la-decouverte-de-vsphere/, installer une maquette VMWare ESXi 5.0, c’est la croix et la bannière…

Mais qu’est ce qui leur a pris à VMWare de rendre les choses si complexe ??????

petit rappel sur la définition de « complexe » qui à mon gout est en adéquation avec le produit…

Un complexe est un tout qui comprend un certain nombre de parties, en particulier avec des parties interconnectées ou reliées mutuellement.

Avec Hyper-V en quelques cliques on peut avoir un cluster opérationnel.

Vmware, avant de comprendre comment installer le host, comment gérer le host, comment mettre en place un cluster ESXi il s’en passe du temps… et le temps je le passe sur le site de VMWare a essayer de comprendre la différence entre chaque composants de la solution, car des composants, il y en a la pelle..

L’idée de départ semblait pourtant simple mais il y a des points de blocage:

Les étapes:

  1. 1ère étape: L’installation de workstation 8.0 pour la gestion des machines virtuelles, dont mes deux serveurs ESXi, ça, ça va…
  2. Installation du premier serveur ESXi
  3. Installation du deuxième serveur ESXi
  4. Ajout d’une VM sur l’un des mes serveurs ESXi
  5. Mise en place du cluster entre mes deux serveurs
  6. Test du cluster avec errêt du noeud actif
  7. Fêter ma victoire :p

Pour l’instant je bloque à l’étape 5 car je ne trouve pas l’option ou l’outil qui me permettrait de configurer le cluster…

Si je ne m’abuse, en plus de l’installation de VMware Vsphere client pour la gestion des serveurs ESXi, je dois installer un module complémentaire nommé VMware High Availability (HA), outil nécessitant VMWare VCenter server

C’est ce que j’essaye de faire désespérément ces derniers jours avec l’ajout d’une nouvelle machine virtuelle car comme son nom l’indique (VMWare VCenter server)  il s’agit d’un serveur.

Désespérément car je suis confronté à des erreurs linux lors de l’installation… (génial..)

Je vous fait un petit screen shot très bientôt

Le CDN kezako ?

Acronyme de:  Content Delivery Network

 

Le plus simple pour vous expliquer l’idée générale est l’utilisation d’un cas pratique:

 

Un Australien tape dans son navigateur l’URL suivante: http://blog.virtuoze.fr

Si on fait une résolution DNS classique, ce nom de domaine pointe sur un serveur français (pas le peine de vérifier, c’est uniquement à titre d’exemple ^^)

Qui dit serveur Français et client Australien dit longue distance entre les deux… donc une page web qui peut prendre du temps à s’afficher.

Certes, sur des connexions ADSL, le site web s’affichera assez rapidement… mais on peut encore améliorer la rapidité d’affichage en réduisant la distance….

 

Le CDN va justement permettre de rapprocher les deux, le client et le serveur…. mais comment ?

En réalité, le CDN est un réseaux de serveurs dispatchés dans de nombreux pays …. on parle de serveur mais on peut surtout parler de cache mémoire.

En effet, le rôle de ces serveurs géographiquement mieux placés est de répondre à ce client à la place du serveur situé à l’origine en france.

– premier avantage, on décharge le serveur français

– deuxième avantage, le page web s’affiche plus rapidement sur le navigateur de monsieur Kangourou

 

On a pas encore réellement répondu à la question du comment ca marche ?

Pour ce faire, le réseaux de serveurs CDN doit en amont récupérer l’intégralité ou une partie du site web http://blog.virtuoze.fr situé en france.

C’est ce que le serveur CDN Australien se chargera de faire.

Ensuite en fonction de notre architecture web, les pages web changent plus ou moins souvent, il sera alors possible d’indiquer aux serveurs CDN de se mettre à jour par rapport au serveur français, régulièrement ou pas.

 

Plus concrètement, je vous ai parlé plus haut de la résolution DNS de blog.virtuoze.fr, pour passer sur le réseaux CDN, il faudra faire pointer le nom de domaine blog.virtuoze.fr sur une @IP CDN.

C’est le réseaux CDN qui, en fonction de la provenance de la requête web, répondra au client par tel ou tel serveur proche de celui-ci.

 

Voilà une brève initiation à la découverte de cette technologie qui séduit de plus en plus de sociétés. Sociétés qui, finalement, peuvent traiter avec l’international sans avoir peur d’afficher des temps de réponse ridicule.

 

Pour la petite info, l’hébergeur OVH propose cette solution.

Leur explication autour du CDN est d’ailleurs assez enrichissante -> http://www.ovh.com/fr/cdn/

Il y a parfois de bonnes nouvelles et parfois de moins bonnes ….

L’AFNIC qui sont les mieux placés pour se présenter:

L’AFNIC, (Association Française pour le Nommage Internet en Coopération) est le gestionnaire du registre des noms de domaine pour les zones géographiques suivantes : .fr (France), .re (Ile de la Réunion), .pm (Saint-Pierre et Miquelon), .tf (Terres australes et antarctiques Françaises), .wf (Wallis et Futuna), .yt (Mayotte). Sa mission est d’assurer la continuité de l’espace territorial français sur internet, ainsi que l’accessibilité de ces domaines depuis n’importe quel point de l’internet. Cette mission comprend aussi l’attribution, par l’intermédiaire de bureaux d’enregistrement , des noms de domaine de premier niveau se terminant par l’une des extensions géographiques sous sa responsabilité (par exemple, « ma-societe.fr » ou « mon-nom-de-famille.wf »).

propose dès aujourd’hui 30 nouveaux caractères pour la création des noms de domaine sous sa responsabilité  .fr.re.pm.tf.wf , .yt

il s’agit de ceux-ci!

à, á, â, ã,  ä,  å, æ

ç

è, é,  ê, ë,

ì, í, î, ï,

ò, ó, ô, õ, ö,

ñ,

ù, ú, û, ü,

ý,  ÿ

ß

oe

ce marché sera ouvert à tous uniquement dans 2 mois, pour l’instant seuls les propriétaires des noms de domaines sont prioritaires.

exemple, http://www.microsoft.fr peut acheter www.mìcrosöft.fr, je vous laisse prendre votre calculette et imaginer le nombre de possibilités qui existent ………………….. la gestion des noms de domaine d’une société pourra vite devenir un gouffre financier:

  • tâches supplémentaire pour les dev et les admins ?
  • achat de nouveaux domaines
  • achat de nouveaux certificats de sécurités
  • problèmes juridiques avec les petits malins..

Mais pourquoi  donc réaliser ces achats ?

Tout simplement car si microsoft (gardons cet exemple) ne réalise pas l’achat de ces nouveaux noms de domaine, quelqu’un d’autre, probablement crapuleux pourra le faire dans 2 mois et ainsi monter un site web avec l’url très ressemblante (phishing) http://www.mìcrosoft.fr et je vous laisse ensuite imaginer le pire …récupération des logins/mot de passe, information de carte bleue etc etc..

Alors cette initiative de la part de l’Afnic est elle bonne ? Pas à mon gout.. je vous laisse imaginer les erreurs d’envoie de mail:

« mais non c’est toto@caractère.fr je te dis! »

« ha ok, moi j’avais mis caractere.fr… vieille habitude désolé… »

sans parler de l’investissement financier dont je vous ai déjà touché deux mots plus haut..

Ce sera une réelle « prise de tête »! rien que pour mon dns virtuoze.fr il y a 750 possibilités 🙂 je passerai donc de 8 euros par an à 6000 euros … merci qui ?? merci l’AFNIC.

Et tout ceci dans quel intérêt ? Sommes nous en pénurie de nom de domaine comme pour les @IP en IPV4 ???? Je ne crois pas.. l’AFNIC va s’en mettre plein les fouilles ça c’est certain par contre.

A voir en pratique très prochainement dans tous les cas … de mon côté j’ai avertie ma hiérarchie, j’espère qu’ils auront l’intelligence de regarder ça de très prêt.

Un petit lien de lAfnic qui rappel cette « innovation »

http://www.afnic.fr/medias/documents/afnic-politique-ouverture-idn.pdf

A la découverte de vSphere (partie 1)

Bonjour à tous,

prochainement je vais être amené à vous parler de la solution de virtualisation VMWare ESXi!

Why ? Parce que je souhaiterai tout simplement, en tant qu’admin sys, être transverse sur cette technologie et ainsi, être capable de comparer Hyper-V à ESXi et Citrix XENServer.

 

Ma plateforme de dev est en cours d’installation, j’ai la chance de disposer de 12Go de ram sur ma bécane ce qui va me permettre d’allouer aisément de la rame à mes futurs VM.

L’idée est simple je disposerai de:

  • VMWare Workstation pour la gestion des machines virtuelles
  • Deux VM vSphere en clustering
  • L’outil de gestion vSphere client sur mon PC
  • Un ou deux OS invités pour tester le basculement de ces derniers
Le fait de pouvoir virtualiser l’hyperviseur (merci vmware!) c’est top car hyper-v n’offre pas cet avantage … 😦
L’installation de vSphere est « impressionnante » puisqu’il n’y a, hormis « OK » et « NEXT » quasiment aucune interaction avec l’admin, et au final, on arrive sur une interface épurée où l’on ne peut à priori pas faire grand chose.
A partir de là, il faut installer un vSphere Client pour administrer le serveur ESXi. Un peu comme une installation Win2008R2 en mode core et les outils d’admin RSAT.

Du nouveau très bientôt!

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